Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 11:44

Comme Jean-Christophe Lagarde "Je suis favorable à un système de proportionnelle intégrale avec prime majoritaire."

Replay invité de Radio Classique ce matin.

A 7h50, Jean-Christophe Lagarde, président de l'UDI, est l'invité politique de Guillaume Durand.

Partager cet article
Repost0
30 mars 2015 1 30 /03 /mars /2015 08:49

l" Elections départementales : Une victoire vers une alternative Républicaine "

Ce soir, le Parti Radical se félicite des résultats obtenus à l'occasion de cette campagne territoriale avec un grand nombre d'élus radicaux et UDI, faisant de l’UDI une force politique renforcée et plus que jamais en capacité d'apporter une alternative pour nos concitoyens.

L'échec de la politique économique et sociale menée par l'exécutif depuis 2 ans et demi, ne fait qu’accentuer le vote Front National qui se nourrit déjà de la défiance des Français contre leurs élus et les partis de gouvernement.

Ce vote est un cri de colère et doit nous éclairer pour l’avenir. Il est plus qu'urgent d'y apporter des réponses.

Les Français expriment aujourd'hui leur volonté de choisir une troisième voie et il nous appartient à nous, Radicaux, parti enraciné dans les territoires de faire en sorte que cette alternative soit Républicaine.

Partager cet article
Repost0
26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 20:04


Le Parti Radical, salue la mobilisation des entreprises et des élus locaux qui a abouti au report d'un an de la réforme des impôts locaux des entreprises.

Ainsi, les projections indiquaient, avec la révision des bases locatives, une augmentation de près de 80 % des impôts des petits commerces de centre-ville, celle-ci aurait emporté tout ce qui reste de services de proximité au profit des grandes surfaces.

Il est impossible de poursuivre la politique du « toujours plus d’impôt » appliqué depuis 2012 et qui pénalise les TPE et les PME . Cette réforme technocratique aurait été un vrai tsunami qui aurait emporté ce qui reste du commerce de proximité et bouleversé les centres-villes.

Pour le Parti Radical, il est temps qu'une véritable concertation ait lieu sur ce sujet en associant l'ensemble des acteurs. Il sera vigilant et s’opposera à tout passage en force de cette réforme, comme il sera extrêmement attentif à la réforme annoncée des impôts locaux des particuliers.

Partager cet article
Repost0
25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 15:03

La question, au lendemain du premier tour des élections départementales, n'est plus de savoir si le Front national peut remporter un département. Mais combien.

Des militants FN de la fédération du Var dans l'attente des résultats le 22 mars 2015. (BORIS HORVAT / AFP)

La présidente frontiste, Marine Le Pen, a déjà sa petite idée. "Il y a un ou deux départements où cette hypothèse devient crédible, notamment l'Aisne et le Vaucluse compte tenu de nos résultats", fait-elle valoir sur BFMTV-RMC. Marine Le Pen assure qu'elle n'avait "jamais envisagé" cette éventualité jusque-là. Pour la présidente frontiste, ce serait "une très bonne surprise".

Les départements où le FN dépasse un tiers des voix ne manquent pas. Mais dans l'Oise (35,1%), le parti frontiste est voué à être battu par la droite grâce au report des voix de la gauche. En Haute-Marne (35,1% également), malgré le gain d'un canton dès le premier tour, le Front national ne parviendra pas à menacer une droite ultra-dominante.

Toutefois, l'Aisne et le Var ne sont pas les seuls chances de victoires pour le parti d'extrême droite.

Le Var n'est pas cité par Marine Le Pen comme un département gagnable. Et pourtant, c'est une terre où tout, ou presque, réussit au FN. Le parti de Marine Le Pen y compte trois maires – ceux du Luc et de Cogolin et David Rachline, à Fréjus. Et au premier tour des départementales, il obtient son plus gros score, tous départements confondus : le FN se classe premier, avec 38,90% des suffrages exprimés, devant les candidats UMP/UDI (34,77%).

Le parti a gagné dès le premier tour le canton de Fréjus. Mieux, le FN s'est qualifié dans les 22 autres cantons du département. "Le FN sera présent au second tour dans tous les cantons, c'est une première", souligne le secrétaire fédéral du FN, Frédéric Boccaletti. Il est même en tête dans 15 cantons. Carton plein.

Alors, le Var au Front ? Au second tour, le parti de Marine Le Pen fera face à des candidats UMP/UDI dans 20 des 22 cantons. Une configuration qui devrait profiter à la droite républicaine, dont la grande figure locale est le maire de Toulon Hubert Falco, et qui tient le département depuis 30 ans. "Nous sommes assez confiants pour le second tour", indique le député UMP Philippe Vittel, "la majorité départementale résiste très bien".

La gauche est, elle, laminée : le PS est à 7,65% et les candidats d'union de la gauche à 4,17% au niveau départemental. Les candidats de gauche ne peuvent se maintenir que dans deux cantons, celui de Garéoult, et celui de la Seyne-sur-Mer-1.


38,7% - Coup de FN dans l'Aisne

La première surprise de la soirée électorale est venue de l'Aisne, aux mains du PS depuis 1998. Le Front national emporte dès le premier tour le canton de Vic-sur-Aisne. Le FN est d'ailleurs présent dans les 20 cantons du département picard où un second tour aura lieu. Au niveau départemental, le parti d'extrême droite arrive en tête avec 38,7% des voix.

Du coup, Franck Briffaut, le maire FN de Villers-Cotterêts, qui a lui-même recueilli 44,80% des suffrages dans son canton, se verrait bien présider le conseil départemental. "Nous sommes présents dans tous les cantons. Alors oui, c'est jouable", affirme-t-il à l'AFP. Prudent, il précise : "Mais rien n'est sûr".

Il sait que le FN est en mesure de gagner dans 10 ou 11 des 20 cantons. Toutefois, les 9 triangulaires vont entretenir le suspense. Et tout dépendra du report des voix ou du retrait d'une liste pour barrer la route à l'extrême droite.

Exemple dans le canton de Vervins : l'UDI et l'UMP ont respectivement 25,23% et 25,03% des voix. Le FN recueille de son côté 30,47% des suffrages. L'apport des voix de gauche n'empêchera peut-être pas le FN de l'emporter si les deux listes de droite se maintiennent.

Reste les 11 duels. Les cinq qui opposeront le FN à l'UMP pourront tourner à l'avantage de la droite, qui part favorite en raison de l'appel probable du PS et du PCF à battre l'extrême droite.

Mais les six autres duels entre la gauche et le FN s'annoncent plus indécis. Tout dépendra de l'attitude des électeurs des partis de droite battus au premier tour. Vont-ils aller voter pour sauver les candidats de la gauche ? Rien n'est sûr. Et il possible qu'au soir du second tour, aucun parti ne dispose d'une majorité absolue au sein de l'assemblée départementale.

Le FN a raflé dès le premier tour le canton du Pontet : le candidat FN Joris Hebrard l'a largement emporté avec 58,2% des voix face à l'UMP Claude Toutain (25,8%). Un duel que le frontiste avait déjà gagné aux municipales de 2014, depuis invalidées par le Conseil d'Etat. Le parti d'extrême droite est arrivé en tête dans 10 autres des 17 cantons de ce département.

"L'objectif est atteint, nous sommes présents dans les 17 cantons, nous sommes premiers dans 11 d'entre eux", jubile Marion Maréchal-Le Pen lors d'un point de presse à Carpentras. Preuve que la partie n'est toutefois pas encore jouée : la députée frontiste entend ne pas céder au "triomphalisme" et invite ses troupes à "redoubler d'efforts pour aller chercher des voix partout où elles sont" pour le second tour.

En cause, les négociations sur une alliance avec l'autre parti d'extrême droite du département : la Ligue du sud du sulfureux maire d'Orange Jacques Bompard. Dans le canton de Bollène, le frère ennemi du FN, avec sa représentante Marie-Claude Bompard (32,66%), arrive derrière le binôme de l'union de la gauche (36,45%) mais devant celui du FN (30,89%). A Orange, le fils de Jacques et Marie-Claude Bompard, Yann, arrive avec26,98% légèrement derrière le FN (31,61%). Les tractations entre les deux extrêmes portent sur le désistement du FN à Bollène et celui de la Ligue du sud à Orange.

Car pour gagner, le Front national doit être élu dans 8 cantons. C'est déjà fait pour un. Reste à en trouver 7. Le FN est arrivé largement en tête dans 5 cantons : celui de Carpentras (47,2%), de Cavaillon (45,4%), de Sorgues (42,7%), d'Avignon 1 (39,2%), de Valréas (39,11 %).

Le parti d'extrême droite pourrait l'emporter à Avignon-3, où l'ancien candidat aux municipales Philippe Lottiaux (39,62%) fera face à celui du Front de gauche André Castelli (37,74%). Il y aussi une possible victoire frontiste à Monteux où l'attaché parlementaire de Marion Maréchal-Le Pendevance largement le PS avec 44,29%. Enfin, à Pernes, se joue une triangulaire avec l'UMP et le PS qui sera favorable au FN.

Le département de Guy Mollet va-t-il être submergé par une vague brune ? Le Pas-de-Calais est en tout cas l'un des symboles de l'effondrement du Parti socialiste. Le PS, sans les candidats divers-gauche, y récolte 16,7% des voix au soir du premier tour. Le Front national, lui, s'envole avec 35,63% des suffrages.

Le parti d'extrême droite arrive en tête dans 22 des 39 cantons que compte le département. Le FN enregistre ses meilleurs scores dans 7 cantons du bassin minier : Hénin-Beaumont-1 et 2, Harnes, Wingles, Lens, Carvin, Nœux-les-Mines. Le grand nombre de triangulaires, pas moins de 13, pourrait jouer en faveur du parti frontiste.

Lentement, le FN s'est enraciné dans le département, bastion socialiste depuis la Libération. Une progression marquée par la victoire éclatante deSteeve Briois, vice-président du Front national, à Hénin-Beaumont, dès le premier tour des municipales en 2014.

Au total, le Front national pourrait gagner 19 cantons, moins de la moitié pour conquérir le conseil général. Mais le parti d'extrême droite aura le plus grand nombre d'élus face à une éventuelle alliance gauche-droite qui ne pourra qu'être fragile et instable.

Et pour Marine Le Pen, ces victoires dans le Pas-de-Calais peuvent en apporter une autre : la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie lors des élections régionales. "Les résultats de ce soir seront le socle des résultats des régionales".

Dans le Gard, la gauche s'enfonce et le FN s'enracine. Le parti d'extrême droite s'est qualifié pour le second tour de l'élection départementale dans 22 des 23 cantons. "Je suis heureux du résultat, mais ce n'est pas fini", assure à l'AFP le maire de Beaucaire et patron du FN dans le Gard, Julien Sanchez.

Avec 35,54% des suffrages, le parti de Marine Le Pen affiche clairement sa prééminence devant l'Union de la droite (22,2 %) et la gauche, où le PS avec 9,32% a une fois de plus souffert de la multiplication des candidatures.

La chute de la gauche, qui dirige le département depuis 1994, est d'ailleurs spectaculaire. En 2011, le bloc de gauche représentait près de 58% des électeurs, dont 28,5% pour le PS. Dans son fief, Vauvert, ville où il est élu depuis 1998, le président sortant PS du conseil général, Jean Denat, termine 2e avec 30,8% derrière le FN Nicolas Meizonnet (42,7%).

Le Front national pourra-t-il avoir la majorité des cantons, soit au minimum douze ? Les six triangulaires vont favoriser mécaniquement les binômes du Front national. Surtout, il y a 7 duels qui opposent les candidats d'extrême droite à des candidats de gauche. La grande inconnue sera le report de voix des électeurs de droite dont les candidats ont été battus dès le 1er tour.

Partager cet article
Repost0
23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 18:53

Communiqué de Laurent HENART, Président du Parti Radical


Alors que des personnalités centristes expriment aujourd'hui des positions confuses, Laurent HENART, président du Parti Radical, souhaite rappeler solennellement la position, qui n'a pas varié depuis plus de 30 ans, de sa famille politique : faire partout et sans relâche barrage à l'extrême droite.

Ainsi, il appelle tous les Français à livrer, au second tour des élections départementales, un combat résolu face au Front national. Cet appel s'adresse notamment à tous les candidats radicaux qualifiés ou bien, en cas d'élimination, à tous les candidats défendant les mêmes valeurs républicaines et auxquels le Parti Radical apporte son soutien sans réserve. Plus que jamais, "Pas 1 voix, pas 1 siège pour le Front national" reste la ligne officielle du Parti Radical !

Communiqué de Laurent HENART, Président du Parti Radical

Départementales 2015 : le Parti Radical appelle à faire barrage au Front national « partout » !


Alors que des personnalités centristes expriment aujourd'hui des positions confuses, Laurent HENART, président du Parti Radical, souhaite rappeler solennellement la position, qui n'a pas varié depuis plus de 30 ans, de sa famille politique : faire partout et sans relâche barrage à l'extrême droite.

Ainsi, il appelle tous les Français à livrer, au second tour des élections départementales, un combat résolu face au Front national. Cet appel s'adresse notamment à tous les candidats radicaux qualifiés ou bien, en cas d'élimination, à tous les candidats défendant les mêmes valeurs républicaines et auxquels le Parti Radical apporte son soutien sans réserve. Plus que jamais, "Pas 1 voix, pas 1 siège pour le Front national" reste la ligne officielle du Parti Radical !

Communiqué de Laurent HENART, Président du Parti Radical

Départementales 2015 : le Parti Radical appelle à faire barrage au Front national « partout » !


Alors que des personnalités centristes expriment aujourd'hui des positions confuses, Laurent HENART, président du Parti Radical, souhaite rappeler solennellement la position, qui n'a pas varié depuis plus de 30 ans, de sa famille politique : faire partout et sans relâche barrage à l'extrême droite.

Ainsi, il appelle tous les Français à livrer, au second tour des élections départementales, un combat résolu face au Front national. Cet appel s'adresse notamment à tous les candidats radicaux qualifiés ou bien, en cas d'élimination, à tous les candidats défendant les mêmes valeurs républicaines et auxquels le Parti Radical apporte son soutien sans réserve. Plus que jamais, "Pas 1 voix, pas 1 siège pour le Front national" reste la ligne officielle du Parti Radical !

Communiqué de Laurent HENART, Président du Parti Radical

Départementales 2015 : le Parti Radical appelle à faire barrage au Front national « partout » !


Alors que des personnalités centristes expriment aujourd'hui des positions confuses, Laurent HENART, président du Parti Radical, souhaite rappeler solennellement la position, qui n'a pas varié depuis plus de 30 ans, de sa famille politique : faire partout et sans relâche barrage à l'extrême droite.

Ainsi, il appelle tous les Français à livrer, au second tour des élections départementales, un combat résolu face au Front national. Cet appel s'adresse notamment à tous les candidats radicaux qualifiés ou bien, en cas d'élimination, à tous les candidats défendant les mêmes valeurs républicaines et auxquels le Parti Radical apporte son soutien sans réserve. Plus que jamais, "Pas 1 voix, pas 1 siège pour le Front national" reste la ligne officielle du Parti Radical !

Communiqué de Laurent HENART, Président du Parti Radical

Départementales 2015 : le Parti Radical appelle à faire barrage au Front national « partout » !


Alors que des personnalités centristes expriment aujourd'hui des positions confuses, Laurent HENART, président du Parti Radical, souhaite rappeler solennellement la position, qui n'a pas varié depuis plus de 30 ans, de sa famille politique : faire partout et sans relâche barrage à l'extrême droite.

Ainsi, il appelle tous les Français à livrer, au second tour des élections départementales, un combat résolu face au Front national. Cet appel s'adresse notamment à tous les candidats radicaux qualifiés ou bien, en cas d'élimination, à tous les candidats défendant les mêmes valeurs républicaines et auxquels le Parti Radical apporte son soutien sans réserve. Plus que jamais, "Pas 1 voix, pas 1 siège pour le Front national" reste la ligne officielle du Parti Radical !

Partager cet article
Repost0
19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 09:20

Alors que le Gouvernement tunisien vient d'annoncer la fin de l'attaque terroriste au musée du Bardo à Tunis, le Parti Radical souhaite exprimer sa totale solidarité avec le peuple tunisien et les familles des 22 victimes, dont 20 touristes.

Pays en pleine transition démocratique, nous ne doutons pas que la Tunisie saura surmonter avec courage cette douloureuse épreuve. Ces faits dramatiques, à l'image de ceux survenus en France, au Danemark ainsi que dans plusieurs pays africains, démontrent à quel point le combat contre le terrorisme et le fondamentalisme islamique est un enjeu mondial.

Face à cette situation, la France doit jouer un rôle de premier plan et agir avec la plus la plus grande fermeté. Ainsi, dans la continuité des mesures prises depuis le mois de janvier, le Parti Radical souhaite notamment que soit adopté le plus rapidement possible le projet de loi sur le renseignement qui doit être présenté demain en Conseil des ministres.

Partager cet article
Repost0
18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 12:13

A quelques jours des élections départementales, deux spécialistes des collectivités territoriales plaident dans un livre pour un "vrai" big-bang. Cela passerait notamment, selon eux, par la fin des 36.000 communes et la sauvegarde de 49 des 96 départements métropolitains

La réforme territoriale en est à ses débuts… Du moins, c'est ce qu'espèrent Eric Giuily et Olivier Régis, auteurs de Pour en finir vraiment avec le millefeuille territorial*, dans les librairies depuis une semaine. Les deux spécialistes - le premier a mis en œuvre les lois de décentralisation de 1982 à 1986 ; le second est économiste, élu UMP et président délégué du "Forum pour la gestion des villes et des collectivités territoriales" depuis 2004 - appellent les responsables politiques à aller encore plus loin. Cela passerait par la disparition des 36.000 communes pour 2.095 communautés de communes et la division par deux du nombre de départements. Un pavé dans la mare, à quelques jours des élections départementales… En outre, les 13 futures régions et les 13 métropoles seraient conservées tandis que 37 communautés d'agglomération disposeraient de compétences départementales.

Pour étayer leur projet, les deux auteurs ont mis au point "leur" nouvelle carte de France, que nous reproduisons ici. Fini donc les "vieux" départements, c'est un territoire à géométrie variable - une carte de France "à la carte" - qu'ils imaginent. Les départements ruraux seraient maintenus, et certains qui fusionneraient reconstitueraient… des régions qui viennent d'être supprimées. C'est le cas notamment de la Basse et Haute-Normandie qui reprendraient ici des compétences départementales. Les nouvelles métropoles (Bordeaux, Toulouse, Marseille, etc) récupéreraient eux aussi ces pouvoirs à la place de leur département respectif. Enfin, trois régions ne formeraient plus qu'une collectivité unique : l'Ile-de-France - à laquelle se rajouterait l'Oise -, la Bretagne - sans la métropole nantaise qui ferait bande à part - et la Corse. A l'exception de Mayotte, les départements d'Outre-mer deviendraient eux aussi des collectivités uniques en fusionnant avec leur région respective, comme cela est déjà prévu pour la Guyane et la Martinique.

"Cette réforme n'est pas possible en 2015, à la moitié du quinquennat, mais elle sera nécessaire en 2017", explique auJDD.fr Eric Giuily.

* Pour en finir vraiment avec le millefeuille territorial, Eric Giuily et Olivier Régis, L'Archipel, 18.95 euros.

Partager cet article
Repost0
17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 10:47

Communiqué de Nathalie Delattre
Secrétaire générale du Parti Radical

Attaques contre les travailleurs indépendants et les professions libérales : le Parti Radical demande un cessez-le-feu


Depuis plusieurs mois maintenant, les travailleurs indépendants et les professions libérales font face à des attaques sans précédent : le projet de loi Macron a ouvert le feu avec les professions juridiques, le projet de loi Touraine a poursuivi avec les professions de santé, puis ce fut au tour du scandale du Régime social des indépendants avant le dénigrément des auto-entrepreneurs par l'ancien Président de la République.

Face à la gravité de cette situation, le Parti Radical appelle à un cessez-le-feu immédiat. Pour ses responsables, il est temps d'en finir avec ces postures idéologiques à la veille des échéances électorales même si « elles font peur » à certains. Pour le Parti Radical, la France est riche de toutes ses forces vives et les travailleurs indépendants et libéraux y ont toute leur place. Cessons de les attaquer !

Partager cet article
Repost0
13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 19:10

Alors que les professionnels de santé libéraux vont manifester une nouvelle fois ce dimanche contre le projet de loi « La loi de santé » de Marisol TOURAINE, le Parti Radical rappelle sont attachement à un système de santé basé sur la coexistence d’un secteur public et d’un secteur privé qui, ensemble, assurent l'accès à des soins de qualité grâce à la solidarité nationale. Le Parti Radical insiste également sur le fait que, contrairement aux affirmations de la ministre de la santé, la question de l'accessibilité aux soins ne saurait se limiter à la généralisation du tiers-payant.

Loin de constituer un progrès, celle-ci aboutit uniquement à une étatisation de la santé qui ne réglera nullement les vrais problèmes auxquels nous devons faire face : inégalités territoriales entre les zones urbaines et les zones rurales, délais d’obtention de rendez-vous pour des consultations spécialisées ou examens complémentaires nécessitants des plateaux techniques ou équipements lourds (Table de coronarographie, IRM…), etc.

Enfin, le Parti Radical dénonce la volonté du Gouvernement qui, pour des raisons purement dogmatiques et idéologiques, a créé les conditions pour mettre en péril l'existence même de la médecine libérale et de l’hospitalisation privée en France : exclusion des établissements de santé privés des missions de service public ou bien la création d’un « Service Territorial de Santé au Public (STSP) » où la place des médecins libéraux est ignorée…

Laurent HÉNART,

Président du Parti Radical

Partager cet article
Repost0
12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 14:44

La proposition

Le député EELV François de Rugy porte une proposition de loi pour rendre le vote obligatoire. Dans Le Parisien, il propose ainsi de mettre en place "une amende de 35 euros" contre ceux qui "ne se rendraient pas aux urnes, sans motif valable". "Il ne s’agit pas de créer une nouvelle taxe, mais juste de dissuader l’abstention".

L'avis

Sur ce sujet, Gérard Larcher ne partage pas l'avis de François de Rugy. "Naturellement, il faut encourager le vote. Mais casser le thermomètre ne révèlera pas une situation améliorée", a-t-il déclaré à propos du vote obligatoire. "Voilà pourquoi il faut faire campagne pour expliquer l'importance des départementales", a dit le président du Sénat qui "regrette" la forte abstention annoncée car cette élection, "c'est la vie quotidienne des gens : l'APA (allocation personnalisée d'autonomie), l'allocation handicapés, l'Aide sociale à l'enfance, la route (...), le collège, la relation avec la commune, c'est le département".

Le désaccord

Le président du Sénat s'est également exprimé sur la formule "FNPS" lancée par Nicolas Sarkozy dans un entretien au Figaro. "Ce n'est pas mon style, ce n'est pas ma synthèse", a déclaré Gérard Larcher. "Je pense (que le FN) n'apporte aucune des solutions et que son socle de valeurs est très éloigné de celui que les républicains partagent", a-t-il insisté. Le sénateur des Yvelines "combat" également le PS "parce que c'est l'échec, échec qui conduit à nourrir le désarroi. A nourrir le PS, on contribue à nourrir le Front National".

Le bilan

Une enquête Ifop/Fiducial pour Paris Match, iTélé et Sud Radio rapporte le jugement des habitants des villes gérées par le Front national, un an après les élections municipales. A la question "Êtes-vous satisfait ou mécontent de votre maire?", 73% des personnes interrogées se disent plutôt ou très satisfaites. "Pour autant, les habitants de ces communes ne délivrent pas un blanc-seing à leur maire qu’une majorité considère comme sectaire (58% contre 38% sur l’ensemble des autres communes), souligne Frédéric Dabi, directeur général de l'Ifop. De la même manière, le souhait de réélection du maire, s’il s’avère majoritaire (60%), est peu ou prou en ligne avec celui des autres villes (57%) alors même que la gestion municipale ne suscite que de faibles critiques".

La mise au point

"Nous ne faisons pas du départ de Manuel Valls un préalable", explique dans Le Figaro le député frondeur, Laurent Baumel, reçu jeudi soir à l’Elysée par François Hollande pour un apéritif. "Ce n’est pas un combat de personne, ni un combat pour un changement de casting", ajoute l’élu d’Indre-et-Loire. Il demande au président de "recentrer sa politique sur les fondamentaux de sa campagne de 2012".

La critique

L’ancienne ministre des Français de l’étranger, Hélène Conway-Mouret, critique la politique de l’exécutif, deux semaines avant les élections départementales. Elle avait quitté le gouvernement en mars 2014.

Les électeurs voteront quand on s'occupera d'eux et pas seulement de macro économie et des entreprises.

Partager cet article
Repost0

Présentation De Notre Blog

  • : Le blog de lagauchemoderne-asnieressurseine
  • : Ce blog se veut être pour tous les Asnièrois source d'information, d'échange et de débat objectif quant aux réformes justes que nous souhaitons voir mettre en oeuvre tant pour notre ville que pour notre pays. Nous partagerons avec vous nos valeurs Républicaines, Ecologiques, Socio-libérales et Humanistes. A vous lire.
  • Contact

Profil

  • lagauchemoderne-asnieressurseine

Recherche

Liens